Scream 4 : Décryptage

Publié le par Thomas

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On pensait en avoir finis avec la « série » Scream, meilleur représentant du slasher qui a rythmé la fin des années 90. Pourtant le tueur au masque tout droit sortit d’un tableau d’Edvard Munch intitulé Le Cri n’a pas dit son dernier mot. Wes Craven non plus qui nous entraîne une fois encore au cœur de la ville qui a marquée les début de la trilogie : Woodsboro.

 

Alors que Sidney Prescott l’éternelle survivante revient pour la promotion de son livre dans sa ville d’origine, de nouveaux crimes sont commis, reproduisant les précédents. La bande d’amis des premiers épisodes qui a pris de l’âge (et du poids) va alors devoir faire face aux tueurs de la nouvelles génération, bien plus pervers qu’auparavant, adeptes des nouvelles technologies qui laisses pantois des quadragénaire dépassés par les évènements.

 

On apprécie :

 

  • L’humour omniprésent, l’autodérision.
  • L’analyse des films de genre par des héros adeptes de l’épouvante.
  • Les références cinématographiques.
  • Les dix premières minutes impressionnantes d’intelligence et d’humour.

 

On aime moins :

 

  • Les quelques gags lourds qui ponctuent certaines scènes.
  • Le côté teenager.
  • La musique.

 

 

 

 

 

Thomas

Gentle Rédaction

Publié dans Art & Expos

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